DĂšs avant, l’action conjointe des deux royaumes permet l’achĂšvement de la ReconquĂȘte par la prise de Grenade (1492) ; quelques annĂ©es plus tard, Ferdinand tient en Ă©chec en Italie la France de Charles VIII, puis de Louis XII. Le rĂ©tablissement de ce dernier et le dĂ©cĂšs prĂ©maturĂ© de Louis Ier contraignent Philippe V Ă abandonner tout espoir de rĂ©gner sur la France et Ă revenir sur le trĂŽne d’Espagne, cette fois dĂ©finitivement. C’est donc Ă la couronne d’une double monarchie affaiblie que prĂ©tendent les candidats Ă la succession du roi Charles II, mort sans hĂ©ritier le 1er novembre 1700. Au terme de longues tractations, c’est un Bourbon, Philippe V, petit-fils du roi de France Louis XIV, qui succĂšde aux Habsbourg. Pour en savoir plus, voir les articles Aragon, Castille, Philippe II. Pour en savoir plus, voir l’article art et architecture espagnols. Pour en savoir plus, voir les articles Abd al-Rahman III, Cordoue, Maillot de Alkmaar Pas Cher – Nouveau â Super Maillot mozarabe. Pour en savoir plus, voir les articles Charles Quint, Habsbourg.
Le 16 janvier 1556, Philippe II, dĂ©jĂ souverain des Pays-Bas et de Sicile, reçoit de son pĂšre les couronnes de Castille et d’Aragon, ainsi que celle des Indes, l’Empire germanique revenant au frĂšre de Charles Quint, Ferdinand Ier de Habsbourg. Vis-Ă -vis de la France, Philippe II, qui a Ă©pousĂ© Ălisabeth de Valois, fille d’Henri II, en vertu du traitĂ© de Cateau-CambrĂ©sis, n’hĂ©site pas, Ă la mort de sa femme (1568), Ă s’ingĂ©rer dans les affaires intĂ©rieures françaises : il apporte un soutien dĂ©cisif Ă la Ligue pour Ă©viter l’accession d’un protestant au trĂŽne de France. DĂ©jĂ amorcĂ© Ă la fin du rĂšgne de Philippe II, le repli Ă©conomique espagnol s’accompagne d’un dĂ©clin politique de la double monarchie (elle est triple jusqu’Ă la restauration de l’indĂ©pendance officielle du Portugal, en 1668), particuliĂšrement prononcĂ© Ă partir des annĂ©es 1640 et qui se traduit par un recul de l’Espagne sur la scĂšne europĂ©enne. Aussi sĂ©dentaire que celui-ci Ă©tait voyageur, trĂšs cultivĂ©, peu portĂ© sur les armes, homme de cabinet au point de laisser l’image d’un roi bureaucrate, Philippe II renforce la centralisation tout en conservant distincts les Ătats de Castille et d’Aragon et en prĂ©servant la large autonomie dont jouissent les municipalitĂ©s et les seigneurs, du moins tant que ceux-ci ne se mĂȘlent pas de politique.
Le pouvoir royal s’impose en mĂȘme temps que l’ordre se trouve rĂ©tabli par les Rois Catholiques, Isabelle de Castille et Ferdinand II d’Aragon. Ă dĂ©faut d’ĂȘtre totale (la Navarre conserve ainsi ses Cortes et son vice-roi), l’unification progresse, au point que les Bourbons – tout en restant prudents vis-Ă -vis de certains particularismes rĂ©gionaux – se font dĂ©signer dĂšs lors comme « rois d’Espagne ». Ă l’inverse de la Navarre et du Pays basque, provinces restĂ©es fidĂšles aux Bourbons durant la guerre de la Succession, tous les territoires ayant choisi le camp de la coalition se voient privĂ©s de leur statut d’autonomie. Il est possible que la Navarre et le LeĂłn aient acceptĂ© « la tutelle cordouane aux ixe et xe siĂšcles. Son image n’est Ă©galement plus la mĂȘme qu’avant aux yeux du monde du Football. Presnel Kimpembe (4) : le soir de son 27e anniversaire, le champion du monde français a connu un match beaucoup plus compliquĂ© que ses partenaires de la dĂ©fense. Dans sa quĂȘte de quitter Manchester United un an aprĂšs son retour et Ă un an du terme de son contrat, lâattaquant de 37 ans a sommĂ© son agent Jorge Mendes de sonder de nombreuses Ă©curies europĂ©ennes.
Manchester United lâaffirme haut et fort. Quant Ă Philippe II, depuis ses dĂ©boires dans les Flandres, il apparaĂźt de plus en plus vulnĂ©rable. La progression des Ottomans est enrayĂ©e par la victoire de LĂ©pante (1571), remportĂ©e sur la flotte turque par l’escadre de la Sainte Ligue rĂ©unissant les forces navales espagnoles, vĂ©nitiennes et du Saint-SiĂšge commandĂ©es par le demi-frĂšre de Philippe II, don Juan d’Autriche (â bataille de LĂ©pante). Enfin, le rĂšgne de Charles II, le plus sombre Ă bien des Ă©gards, renforce le rĂŽle des grands d’Espagne. AprĂšs l’avĂšnement de Charles Quint, l’Espagne se rĂ©vĂšle la principale puissance europĂ©enne entrant dans son « SiĂšcle d’or ». Contraint de « s’hispaniser », Philippe V oriente sa politique Ă©trangĂšre autour de trois objectifs : rĂ©viser le traitĂ© d’Utrecht en contraignant les Anglais Ă restituer Gibraltar ; dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts espagnols dans la pĂ©ninsule italienne en y crĂ©ant des Ătats satellites ; protĂ©ger et dĂ©velopper l’empire colonial.
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