Pendant trois ans, le Barça a de nouveau connu une baisse, constatée tant dans l'effectif restant que dans les nouvelles recrues de la période, comme Simão Sabrosa, Javier Saviola, Geovanni, Fábio Rochemback, Philippe Christanval, Patrik Andersson, Francesco Coco, Gaizka Mendieta, Juan Román Riquelme et Juan Pablo Sorin. Mais, quand il était temps de soulever le trophée, le casting portait le manteau Blaugrana traditionnel par-dessus. Puis Messi a de nouveau été décisif, désormais face à l'Atlético de Madrid : l'Argentin a inscrit un but dans les dernières minutes de la rencontre, garantissant ainsi la victoire 2-1 du club catalan sur les Colchoneros. Le Mexicain a marqué le but vainqueur à la 45e minute de la seconde mi-temps. Le 26 décembre, il a marqué le but qui a assuré la victoire 4-3 de United contre Newcastle. Cependant, il est allé à City pour jouer sa dernière saison, la 2002-03, lorsque l'équipe est revenue en première division, et a aidé la nouvelle équipe à briser le tabou, avec une victoire 3-1 à Maine Road en novembre 2001. Schmeichel réussi, de cette façon, à rester invaincu dans le derby de Manchester.

Les Corts, après une victoire 2-1 face à Santander, refusent de prendre les trams et surprennent toute autorité franquiste. Face à l'équipe italienne, qui porte également du bleu, le Barça a joué tout en orange. Qui occupaient l'espace laissé par Ronaldo étaient de nouveaux héros : ses compatriotes Giovanni (qui avait rejoint l'équipe des mois avant le Phénomène) et Rivaldo, le Portugais Luís Figo et l'Espagnol Luis Enrique, qui avaient surmonté la méfiance initiale des Culers pour être venus du Réal Madrid.. Figo ressentira de première main la haine qu'il a créée en Catalogne: lors d'un de ses retours au Camp Nou, jouant pour le Real dans un El Clásico, il a été accueilli sur le terrain avec une pluie d'objets comprenant des chaînes de vélo, des balles de golf, des bouteilles en verre, téléphones portables, tournevis et le plus macabre – les têtes d'un coq et d'un cochon rôti. L'équipe a déjà disputé ses matchs au Camp Nou ("nouveau stade" en catalan) depuis 1957, Evaristo ayant bourré les filets lors de l'inauguration. Les deux équipes jouent leurs matchs à domicile à l'Estadio Azteca. Le premier gros affrontement entre les deux équipes serait tellement scandaleux que même le Real le reconnaîtrait ainsi.

Le Real Madrid a continué à participer au tournoi car il avait toujours été le champion des éditions précédentes, et les deux se sont rencontrés en demi-finale. D'où l'association croissante de la fierté catalane avec Barcelone, tandis que son rival Español en viendrait à être identifié comme un allié du régime franquiste. Le pic est survenu lors de la deuxième saison, au cours de laquelle Barcelone, dans sa campagne pour remporter la Ligue espagnole, a battu le Real Madrid 3-0 au Bernabéu. Les impressions d'un avenir sombre seraient confirmées par les défaites contre le Real Madrid en Supercopa de España (3-1 au Camp Nou et 2-0 au Bernabéu). En 1953, le club a signé l'Argentin Alfredo di Stéfano, après une performance exquise du joueur des Millonarios, une équipe colombienne qui, en tournée en Espagne, a battu le Real Madrid par 4-2 au milieu du Santiago Bernabéu. ↑ "La routine paradisiaque du Real Madrid : sa cinquième Supercoupe d'Europe est empochée". ↑ ab « Raúl González Blanco ».

↑ «V. Guimarães perd contre Botafogo en Coupe OBI». ↑ "Zidane n'entraîne plus le Real Madrid". La saison 1953-54 verra le Real Madrid remporter à nouveau la Ligue, avec le renfort de l'Argentin Alfredo di Stéfano. Barcelone ne l'a pas accepté et a laissé Di Stéfano jouer uniquement pour l'équipe merengue, qui vivait en décadence – son rival l'Atlético de Madrid était dans un meilleur moment, avait plus de trophées et était celui qui avait initialement rejoint l'armée. Tout cela parce que le joueur était une promesse de campagne du nouveau président, Joan Laporta, qui, sans l'Anglais, est parti pour le plan B : Ronaldinho Gaúcho. La rédaction d'un nouveau contrat (augmentant l'amende de licenciement à un montant suffisant pour que, s'il est payé, ce soit la plus grosse vente du football brésilien) et l'utilisation par étapes dans l'équipe professionnelle en sont les points principaux. Le premier trophée du nouvel entraîneur est survenu lors de sa première saison, remportant individuellement sa deuxième Super Coupe consécutive en 1989. En 1990, ce serait au tour de la Coupe du Roi.

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